“BÉNÉFICES”
de la Ceinture alimentaire
Sécurité civile et alimentaire, Écologie, Sphères économique et sociale
Sécurité civile et alimentaire, Écologie, Sphères économique et sociale
↑ Low-tech
↑ Basse consommation d’énergie
↑ 100% naturel
↑ 0 intrant chimique
↑ 0 engrais artificiel
↑ 85% à 90 % d’eau douce économisée par an selon les climats et la serre
↑ Doublement de la vitesse de croissance des plantes
↑ Système régénérateur à 100%
↑ Polyculture
↑ Récolte abondante
↑ 1 système = 1 personne pour la maintenance
↑ Peu chronophage
↑ Système 100% transitoire
↑ Limite les maladies, les prédateurs et les champignons
↑ Environnement contrôlé sans maladie
↑ Ne dépend pas du climat
↑ Duplicable en ville et en zone rurale
↑ Pour toutes et tous
↑ Outil de transition agricole
↑ Multiplie les lignes de production
↑ Multiplie les sources de revenus
↓ Ne permet pas de faire de la semence (appauvrissement des conditions du phénotype)
↓ Dépend d’une serre géothermique low tech
↓ Dépend de l’énergie électrique (panneau solaire, éolienne ou secteur)
En cas de rupture d’approvisionnement ou d’un autre type de scénario, patienter dans l’urgence requiert une grande tolérance à la frustration du tissu social habitué aux énergies faciles et à l’immédiateté.
Les risques de pénurie alimentaire sont vecteurs d’instabilité sociale et d’insécurité civile.
La ceinture alimentaire a été conçue à partir de cette réflexion et permet de fournir une assiette végétale/végétarienne dans de courts délais.
Fin mars dernier, face à la flambée de l’absentéisme et des commandes non livrées, le gouvernement a demandé un plan d’urgence aux distributeurs. – Le Figaro
Lire l'articleLa Microbioponie® est un outil de transition agricole résilient à double intérêt :
Ces systèmes nécessitent systématiquement la culture de micro-organismes. C’est par eux, que nous activons “la cicatrisation” des sols nus et infertiles, tout en permettant de respecter leurs délais sans impacter l’activité économique.
La perte de rendements agricoles et la baisse de la production alimentaire sont inévitables dans la transition d’un modèle à un autre et dans la réhabilitation des écosystèmes, comme celui du sol. Ainsi, les systèmes hors-sol, low tech et résilients, permettent de pallier cette perte de rendement incompressible et inhérente aux processus régénératifs.
Le retour total des cultures en terre se prévoit dès l’installation de la ceinture alimentaire. Celle-ci accompagne et encourage le déploiement immédiat des pratiques agricoles régénératives.
Réunies en réseau autour des (et dans les) villes, ces unités de production décentralisées répondent à la demande croissante des consommateurs de produits de qualité, sains, et locaux. De plus, la crise sanitaire l’a souligné avec gravité, la dépendance de nos territoires et de nos villes, grandes et moyennes, aux circuits d’approvisionnement les rend très fragiles. Toute disruption prolongée aurait des conséquences désastreuses sur la santé des habitants – et la paix civile.
Les précieux avantages de la ceinture alimentaire s’inscrivent en outre dans une perspective globale de lutte contre le changement climatique et la perte de biodiversité : réduction de la dépendance à la chimie et au pétrole dans la production, réduction des flux de transports, valorisation des déchets organiques et des eaux brunes, régénération des sols, de la biodiversité et des paysages.
La construction des systèmes, leur maintenance et leur exploitation sont d’excellents gisements d’emplois locaux non délocalisables sur une gamme élargie de compétences. Des formations en amont à la distribution, en aval se structure alors une filière économique autonome et moderne qui canalise les énergies locales, favorise la créativité, l’entrepreneuriat et les investissements, revitalise les quartiers urbains où elle est implantée, et irrigue de nombreux secteurs associatifs et économiques.
Fragilité logistique, dépendance aux énergies fossiles, vulnérabilité à la rupture de la chaîne d’approvisionnement, incapacité à nous alimenter dans un rayon inférieur à 10km…
Pourquoi ?